English version at the bottom of page.
A la tombée de la nuit, Bagan respire à nouveau, ses touristes désertent les lieux stratégiques de la scène finale de coucher du soleil.
C’est un rituel.
Dans les temples les plus populaires et les plus investis, les derniers spectateurs se font rappeler à l’orde par le gardien à coup de sifflet pour marquer la fin du spectacle.
Dans les milliers d’autres, pas de gardien.
Je suis donc resté un moment sur un petit temple après le spectacle déserté pas les derniers photographes.
Après avoir replié et rangé mon matériel photo dans le sac à dos, j’ai tenté une sortie par un minuscule escalier vouté de la taille d’un nain aux marches irrégulières (Type d’escalier où l’on se cogne forcément plusieurs fois avant de comprendre).
Avec le flash de mon téléphone, j’ai essayé de trouver mon chemin dans ces escaliers totalement obscurs et j’ai aperçu un rat stressé par mon apparition, qui pensait sûrement que les derniers emmerdeurs avaient quitté la scène. Et bien non.
At nightfall, Bagan breathe again, its tourists deserting the strategic locations of the final scene of sunset.
It’s a ritual.
In the most popular and most invested temples, the last spectators are reminded to orde the keeper to whistle to mark the end of the show.
In the thousands, not guard.
So I stayed a while on a small temple after the show not deserted the last photographers.
Having folded and put away my camera equipment in the backpack, I tried an exit by a tiny vaulted staircase to the size of a dwarf irregular steps (type staircase where one necessarily knocks several times before to understand).
With flash my phone, I tried to find my way in these completely dark stairs and I saw a rat stressed by my appearance, which probably thought that the last hecklers had left the scene. Well no.
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EPOUSTOUFLANT !
Bisou pli loup 🙂