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Les femmes sont très présentes dans l’action et le travail en Birmanie.
Elles font les travaux les plus durs et qui exigent une force physique. Celà ne m’avait pas trop choqué en 2000 et 2013, mais au cours de ce voyage, j’ai été frappé de leurs présences sur les chantiers des routes (photo 3), dans les rizières à couper les foins, dans les marchés et les trains en vendeuses ambulantes à porter des très lourdes charges, dans leur logis à fendre le bois pour la cuisine, dans tout le pays, dans les minorités ethniques (photo 9), à chaque endroit de la Birmanie les femmes sont aux tâches physiques les plus pénibles.
Pourquoi font-elles les travaux les plus durs ? J’ai posé la question. La réponse est restée évasive, en m’expliquant que durant la saison sèche lorsqu’il n’y pas ou peu de travaux dans les champs, elles doivent se reconvertir pour gagner de l’argent autrement.
Women are very present in the action and work in Burma.
They do the hardest work and require physical strength. It did not shock me too much in 2000 and 2013, but during this trip, I was struck by their presence on road construction sites, in the rice fields to cut hay in markets and trains vendors ambulant to carry very heavy loads in their homes to chop wood for cooking, throughout the country in ethnic minorities, in each place of Burma women are the most hard physical labor.
Why do they do the hardest work? I asked the question. The answer remained elusive, explaining that during the dry season when there is little or no work in the fields, they must convert to make money otherwise.
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Dignes et belles !