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Ils frappent, creusent, cassent, poncent, découpent, polissent et avalent la pierre et le marbre du matin jusqu’au soir. Parfois trop jeunes. Sans protection, ils remplissent leurs poumons des nuages de poussière de cette pierre blanche qui recouvrent toutes les feuilles des arbres aux alentours à se croire en hiver.
Dans la rue des tailleurs de Bouddha à Mandalay la vie n’est pas rose, particulièrement pour les enfants, elle est vraiment blanche jusque dans leurs poumons, et pour quelques dollars par jours, peut-être moins.
Des milliers de bouddha s’entassent, jusque dans les arrières cours, pour servir les pagodes et les bouddhistes de l’Asie entière sûrement.
Le sourire imperturbable des birmans s’est interrompu aujourd’hui sur quelques visages d’enfants devenus esclaves de Bouddha dans la rue des tailleurs de pierre de Mandalay.
They hit, dig, break, they hone, cut, polish and down the stone and marble from morning to night. Sometimes too young. Without protection, they fill their lungs dust clouds of the white stone that cover all the leaves around to believing in winter.
In the streets of Buddha in Mandalay tailors life is rosy, especially for children, it is really white into their lungs, and for a few dollars a day, maybe less.
Thousands of Buddha pile, even in backyards, to serve pagodas and Buddhist surely the whole of Asia.
The imperturbable smile Burmese was interrupted today on some faces of children become Buddha slaves in the streets of Mandalay stonemasons.
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