Lisbonne, à l’encontre de ce qu’affirmait l’historien et poète romantique
Alexandre Herculano, n’est pas une ville « de marbre et de granit »
mais une ville d’encre et de papier, une ville dont les places, les rues,
les quais, les jardins, les cafés, sont parcourus par des silhouettes d’écrivains,
hantés par les fantômes de personnages romanesques.
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