Lorsqu’on y pénètre et qu’on parcourt ses 4 côtés les pieds obligatoirement nus sur la pierre, à l’abri du soleil encore chaud de 16 heures, la magie s’opère. Les couloirs sont sombres et frais. Au milieu de chacun trône un immense Bouddha. Quelques fleurs devant en offrande.
La lumière qui pénètre en douceur par chacune des quatre entrées est chaude et éclaire une partie des fresques en renforçant les teintes ocres.
La meilleure heure du photographe est enfin arrivée.
Fuir les heures ou le soleil cogne et marque les ombres comme des lames tranchantes, des contrastes forts et indigestes à regarder sur ses images. Les meilleures heures en matière de lumière lorsque le soleil est trop puissant à son zénith sont décidemment celles qui commencent et terminent la journée.